Après "Faut-il manger les animaux", nous avons dévoré "Bifteck", le dernier roman de Martin PROVOST (aussi réalisateur de "Séraphine").
Le début est truculent, la seconde partie m'a beaucoup moins passionnée, mais par contre la fin est tout simplement géniale et inattendue.
En guise d'amuse bouche, les premières lignes de ce drôle de conte :
Elevé au lait entier, le jeune André évoluant rapidement dans la tradition ancestrale en travaillant au magasin dès l'âge de cinq ans. A sept, il savait déjà tenir la caisse, à huit, égorger son premier mouton, à dix, vous désosser une épaule en deux temps trois mouvements et l'entrelarder sous votre nez, façon bouchère. Fallait voir comment il aimait la bidoche. Si les pianistes naissent tous avec un don, André semblait venu sur terre avec celui qui fait chanter le bifteck."
Premières lignes du roman "Bifteck" de Martin PROVOST
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